Peut-on changer d’univers ? La théorie des trois temps expliquée

Et si le temps avait trois dimensions ? Une vision qui bouleverse notre réalité
Depuis peu, une hypothèse scientifique novatrice suscite un vif débat au sein de la communauté scientifique : et si le temps ne se limitait pas à une simple ligne, mais s’étendait sur trois dimensions distinctes ?
Pour certains chercheurs, cette idée est fascinante tant son potentiel prédictif ouvre des perspectives vertigineuses. Pour d’autres, elle est jugée trop radicale car elle renverse de fond en comble notre compréhension de l’univers.
Cette théorie rejoint pourtant une intuition partagée par plusieurs approches spirituelles et ésotériques : l’espace ne serait pas premier, mais émergerait du temps lui-même — lequel serait intimement lié à la conscience.
Du temps linéaire au temps « volumique »
Dans ce modèle, notre conception classique du temps comme une ligne unique — le passé derrière, le futur devant — laisserait place à un véritable « volume temporel ».
Nous ne serions plus prisonniers d’un seul futur prédéterminé, mais capables, dans certaines conditions, de « sauter » d’une ligne temporelle à une autre à l’intérieur de ce volume.
C’est une vision du multivers plus accessible que celle, cloisonnée, popularisée par la physique théorique : ici, chaque être humain aurait la possibilité de changer d’univers en choisissant consciemment une nouvelle branche de réalité.
Trois temps pour un même univers
Selon cette théorie, ces trois dimensions temporelles correspondent à trois niveaux d’expérience du réel, que les anciens Grecs nommaient déjà :
- Le temps mécanique ou « Chronos »
Il renvoie au temps déterministe et quantique. À l’échelle microscopique, la matière existe dans un état multiple et superposé. Mais dès qu’on observe, la réalité se fige dans une version unique. À notre échelle, ce temps paraît linéaire et immuable. - Le temps des opportunités ou « Kairos »
Ici intervient l’observateur : c’est l’instant décisif où la conscience influence la trajectoire. Lorsque plusieurs futurs deviennent possibles, c’est notre attention, notre choix intérieur, qui sélectionne la ligne temporelle. D’où cette idée de « bifurcation » qui nous permet de réécrire notre futur. - Le temps cyclique ou « Aïon »
À l’échelle cosmique, cette troisième dimension du temps régit les cycles de l’univers. Chaque embranchement peut modifier le destin de mondes entiers. Cette dynamique cyclique résonne fortement avec les grandes lois astrologiques qui décrivent les cycles planétaires, les ères et les retours d’influence.
Six dimensions, voire douze : matière et conscience réconciliées
Si l’on suit cette logique, l’univers ne posséderait plus seulement trois dimensions d’espace et une de temps, mais bien six dimensions fondamentales : trois d’espace, trois de temps.
Mais ce modèle va encore plus loin : il relie ces dimensions à la conscience elle-même. Car si la matière est vue comme de la conscience cristallisée, et la conscience comme de la matière éveillée, la réalité pourrait contenir douze dimensions :
- Six dimensions « figées » où la conscience devient mémoire, matière et espace-temps.
- Six dimensions « vibratoires » où la conscience réactive ces mémoires pour remodeler la réalité en rejouant d’anciennes lignes de temps.
Astrologie et science : même langage du temps ?
Ce pont entre physique théorique et conscience évoque directement les fondements de l’astrologie. Les cycles planétaires ne sont-ils pas des marqueurs de ces « moments Kairos » ?
Chaque thème astral décode un instant précis où plusieurs lignes de temps coexistent, et où nos choix peuvent infléchir la destinée. Les transits, les révolutions solaires, les progressions… ne sont que des façons symboliques de lire ce volume de temps, fait de croisements et de potentialités.
Et si cette intuition disait vrai ?
Bien sûr, tout cela n’est pour l’heure qu’un modèle théorique, voire une intuition poétique. Mais en reliant la physique quantique, la cosmologie, la conscience et les grands cycles astrologiques, cette vision ouvre une question fascinante :
Et si nous étions bien plus libres que nous ne le croyons ? Et si le temps, loin de nous enfermer dans une fatalité linéaire, nous offrait au contraire l’occasion de devenir les co-auteurs de notre propre multivers ?